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Notes de lecture
28 février 2014

Quoi de Neuf dans ma bibli?

Les vacances sont toujours propices aux achats et c'est chez France Loisirs que j'ai craqué pour!

 

nos étoiles contraires

Nos étoiles contraires de John Green, je n'avais aps particulièrement envie de le lire mais à force de n'en lire que du bien sur la blogo... Et puis comment résister à cette jolie couverture?

"Hazel est malade. Gravement. Augustus est en rémission. Elle a 16 ans, lui 17. Dès leur rencontre, en groupe de soutien, il est charmé par son originalité, elle est séduite tout court. Ils ont le même humour, le même regard sans concession et leur complicité est immédiate. C’est le début d’une magnifique histoire d’amour et d’amitié."

 

 

les-tribulations-d-une-cuisiniere-anglaise

Les tribulations d'une cuisinière anglaise de Margaret Powell, je me suis laissée comvaincre par la quatrième de couverture et par le bandeau rouge, bouh c'est mal!

" Dans l'Angleterre du début des années 1920, la jeune Margaret rêve d'être institutrice, mais elle est issue d'un milieu modeste et doit "entrer en condition". De fille de cuisine, elle devient rapidement cuisinière, un titre envié parmi les gens de maison. Confinée au sous-sol de l'aube à la nuit, elle n'en est pas moins au service de ceux qu'on appelle "Eux", des patrons qui ne supporteraient pas de se voir remettre une lettre par un domestique autrement que sur un plateau d'argent.

Elle saura leur tenir tête et rendra souvent son tablier pour améliorer ses conditions de travail, jusqu'à ce qu'elle trouve enfin, sinon le prince charmant, du moins le mari qui l'emmènera loin des cuisines des maîtres."

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27 février 2014

Madame de Lafayette, La Princesse de Clèves

la princesse de clèves

Quatrième de couverture:

"La Princesse de Clèves montre l'effet ravageur de la passion dans une âme qui se veut maîtresse d'elle-même. De la première rencontre avec le duc de Nemours jusqu'à la fuite finale dans le «repos», en passant par un aveu qui cause la mort de son mari, Mme de Clèves assiste lucidement à une déroute contre laquelle ses raisonnements restent impuissants. Mme de Lafayette combat ainsi une grande partie de la littérature amoureuse avec cette arme qui s'appelle l'«analyse». Mme de Lafayette ne l'a pas inventée. Mais jusque-là, elle ne servait qu'à expliquer le comportement des personnages. Ici, pour la première fois, l'analyse devient un moyen de progression et la substance même du récit. Cette audace explique la fortune exceptionnelle du roman, et sa nombreuse postérité."

Je ne sais pas pourquoi j'ai attendu si longtemps avant de lire ce grand classique de la littérature, sans doute un peu à cause de sa renommée justement! J'ai toujours un peu d'appréhension avant de me lancer dans les grands noms de la littérature, surtout s'ils datent d'avant le XIXe siècle! Jj'ai peur de ne pas comprendre l'engouement suscité par le livre, ou carrément de ne pas comprendre l'histoire, le style, l'époque etc. Et c'est bien souvent à tort... La Princesse de Clèves est un petit bijou. Bon j'avoue très franchement que j'ai d'abord été confrontée à ma méconnaissance des rois de France et des histoires de cour, mais grâce à la préface et aux quelques digressions de l'auteur sur certains personnages on comprend aisément qui est qui.

Ce que j'ai apprécié dans ce roman historique mais tout de même fictif c'est qu'on sait d'entrée de jeu quels sont les personnages fictifs. J'ai savouré cette plongée dans la cour du roi Henri II, les personnages, les conversations de salon, l'intrigue amoureuse mais surtout l'écriture de Madame de Lafayette. L'intrigue amoureuse est en phase avec son époque, le personnage principal fait preuve d'une volonté sans faille et est admirable pour cela même si secrètement j'aurais quand même aimé la voir succomber. Les quelques digressions tombent toujours à propos et permettent de mieux comprendre les intrigues secondaires. Le livre se lit avec beaucoup de facilité et de plaisir. La langue, soutenue, n'est pas un obstacle à la compréhension ou à l'avancée du récit, bien au contraire et pour une fois la lecture de la préface ne m'a pas gâché le plaisir de la lecture. En bref, j'ai passé un très bon moment de lecture, et je conseille ce livre à tous ceux qui veulent lire des classiques sans jamais trop oser de peur de ne pas accrocher.

Je ne peux d'ailleurs que vous conseiller d'aller lire le billet de George qui parle très bien du roman. 

Challenge-classique-3

 

(classique de Février)

lire sous la contrainte

 

(GN + GN: 3)

objectif pal

 

(12/78)

25 février 2014

Sarah Waters, Ronde de nuit

ronde de nuit

Quatrième de couverture:

"Dans un Londres écrase par le feu du Blitz se cache une autre guerre, celle des amours illicites, des trahisons et des espoirs brisés.

Quel fantôme du passé hante Helen qui subit, désemparée, le lent délitement de sa liaison interdite avec Julia ? Pour quelles raisons Kay erre-t-elle désormais, inconsolable, dans les rues de la ville ?

Pourquoi Viv, une jeune femme douce et glamour, ne parvient-elle pas à quitter son amant, un ancien soldat marié et père de famille ? La guerre a brassé ces destins qui avancent à tâtons pour reprendre leurs marques. Et pour beaucoup d'entre eux, la voie du bonheur dans un monde enfin apaisé va être aussi dangereuse qu'un tapis de bombes."

Je n'ai pas vraiment apprécié cette lecture qui a trainé en longueur  pendant deux interminables semaines! Je n'ai pas accroché aux personnages ni à l'histoire pourtant c'est un sujet qui avait à priori tout pour me plaire : les femmes en Grande-Bretagne pendant la seconde guerre mondiale. J'ai eu l'impression d'une succession d'anecdotes, pourtant les destins des personnages sont liés. Sarah Waters déconstruit le fil des histoires d'amour (ou d'amitié) de ses personnages en faisant deux bonds dans le passé, en 1944 puis en 1941 afin de mieux comprendre les personnages et ce qui les unis. Cela n'a aps suffit pour m'intéresser, et à la lumière des deux parties dans le passé, la première me paraît encore plus fade! Dommage! 

Un point positif cependant pour les scènes où Kay et son amie Mickey tentent de venir en aide aux londoniens touchés par les bombardements, le personnage qui m'a tout de même touchée est celui de Viv' dont la situation est délicate et qui montre bien la manière dont vivait une jeune femme célibataire à l'époque... Il me reste un roman de Sarah Waters dans ma PAL, je vais attendre un peu avant de l'en sortir.

Vous pouvez cependant aller lire des avis plus positifs, celui de Valérie et Sybille, un peu plus mitigée que moi, et celui de Manu plus enthousiate. 

challenge petit bac

 

(MOMENT / TEMPS: NUIT)

Logo-challenge-bookineurs-en-couleurs

 

(noir)

lire sous la contrainte

 

( GN + GN )

objectif pal

(11/78)

 

15 février 2014

Vacances!

TOUS mes billets sont à jour!!! C'est un EXPLOIT!!! C'est donc la conscience tranquille que je vous abandonne une petite dizaine de jours pour aller me ressourcer en famille, au programme: jeux de société, asister au match de tennis, de volley et autres sports de mes nièces, aller les chercher à l'école, les emmener au bowling ou au ciné, et faire découvrir la région à l'Amoureux. A bientôt!!

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14 février 2014

Eva Rice, Londres par hasard

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Quatrième de couverture:

"Tara, adolescente un peu fantasque dont l’enfance a été assombrie par la mort tragique de sa mère, vit avec son père vicaire et ses sept frères et sœurs dans un presbytère de Cornouailles. Quand, lors d’un mariage, elle est remarquée par un producteur de disques pour sa belle voix, sa vie tranquille de jeune provinciale va basculer. Bientôt, accompagnée de sa sœur Lucy – ravissante jeune femme qui brise tous les cœurs mais qui ne rêve que de vieilles pierres –, elle partira pour Londres où elle enregistrera un disque, connaîtra le succès artistique en même temps que ses premiers amours avec un photographe de mode. Les deux filles seront plongées dans le bouillonnement culturel du Londres des « Swinging sixties ». Lucy va même se rapprocher d’un certain chanteur et joueur d’harmonica qui deviendra par la suite l’une des plus grandes icônes de l’histoire du Rock.

Dans ce roman « vintage », où les éléments de fiction et de la réalité se croisent et s’entremêlent, l’auteur dresse un tableau saisissant et nostalgique de cette époque, nous immergeant dans l’ambiance survoltée qui accompagnait les débuts des Beatles et des Stones, quand Londres était la capitale de la musique et de la mode. Une foule de personnages singuliers se dresse autour de Tara et de sa sœur, et les intrigues et imbroglios amoureux et familiaux se multiplient. Tara va triompher de bien de mésaventures dans ce roman initiatique plein d’espièglerie et d’humour, teintée de cette petite musique très personnelle qui donne tout son charme aux romans – so British – d’Eva Rice."

 

C'est un très bon roman que signe Eva Rice. Je crois que je l'ai même préféré à L'amour comme par hasard. J'ai beaucoup apprécier retrouver les personnages de ce dernier, Charlotte, mais surtout Inigo qui m'avait déjà beaucoupl plu à l'époque. Comment rester indifférente à ce beau brun taciturne? Fils de bonne famille et musicien! L'histoire de Tara Jupp est rondement menée. Une belle histoire familiale d'abord, puis une histoire d'amitié teintée de romance. Pour autant je ne qualifierai pas ce roman de chick-litt. Le background culturel est riche et l'époque dans laquelle est ancré le récit ne le permet pas. Après les années cinquante, Eva Rice s'est attaquée aux sixties avec en fil rouge deux thèmes présents également dans L'amour comme par hasard: la musique et les maisons victoriennes.

En ce qui concerne la musique, l'auteur nous montre l'envers du décor des faiseurs de disques à succès, des chaneurs d'un soir à l'poque où le Palladium faisait salle combre tous les soirs. Les sixties britanniques ont été riches musicalement même si la jeunesse semble moins débridée qu'outre-Atlantique. Néanmoins les mentalités changent, les filles Jupp, bien que filles de pasteur, sont plutôt jeunes et Tara va à Londres alors qu'elle n'est pas encore majeure. Elles craignent leur père mais sont à peu près livres de leurs mouvements.

Pour contraster les changements de l'époque, les grandes demeures victoriennes sont majestueuses et veulent être sauvées. Seules témoins d'une époque révolue, leur prestance et toute la magie qui s'en dégage reste immuable.

Dans ce roman les Rolling Stones côtoient ces maisons d'exception, le grand Capability Brown fait écho à Jane Austen et Dickens alors que les jeunes vibrent au son d'Elvis. Tout ce que j'aime! 

1 % 2013 

(5/6 )

challenge petit bac

(LIEU: LONDRES)

objectif pal

(10/78)

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13 février 2014

David Foenkinos, La tête de l'emploi

la-tete-de-l-emploi

QUATRIEME DE COUVERTURE :

"A 50 ans, Bernard se voyait bien parti pour mener la même vie tranquille jusqu'à la fin de ses jours. Mais parfois l'existence réserve des surprises... De catastrophe en loi des séries, l'effet domino peut balayer en un clin d'œil le château de cartes de nos certitudes. Et le moins que l'on puisse dire est que cet homme ordinaire, sympathique au demeurant, n'était pas armé pour affronter ce qui l'attendait.

Buster Keaton post-moderne, il va devoir traverser ce roman drôle et mélancolique pour tenter de retrouver sa place dans un monde en crise."

L'histoire est somme toute assez banale, un homme, encrouté dans sa cinquantaine, perd emploi et femme dans la foulée, ce qui sort un peu de l'ordinaire c'est que cet homme fait le choix, à son âge déjà bien avancé de retourner vivre chez ses parents. Parents avec qui il ne partage pas grand chose, si ce n'est peut-être sa banalité. Bernard est tout ce qu'il y a de plus banal, et c'est justement ce retour dans sa chambre d'ado qui va lui faire prendre conscience de tout ce qu'il a laissé filer pendant ces années. La vie de ses parents sera un electrochoc. 

Rapidement je me suis dis que je connaissais cette histoire mais impossible de la resituer!!! En fait j'ai lu une ébauche de La tête de l'emploi dans le recueil de nouvelles Six façons de le dire aux éditions du Moteur. Foenkinos y avait publié une nouvelle intitulée Bernard, l'histoire de fond étant la même, les rebondissements en sont quelque peu différents.

J'ai passé un moment de lecture agréable grâce au ton acerbe de l'auteur. Il ne fait pas de cadeaux à Bernard et notre narrateur manie l'autodérision avec brio. Certaines situations sont assez drôles, le dîner chez les parents notamment. D'autres passages sont touchants, on éprouve un peu de peine pour cet homme... Peut-être qu'en effet, un matin on se réveille et on se rend compte qu'on est à des années lumières de celui qu'on a été un jour, peut-être en effet, qu'un jour on se réveille et on ne reconnaît plus la personne avec qui l'on vit, et peut-être aussi qu'un jour, sans réel préavis on vous vire, ou on vous met au placard comme une vieille chaussette ... Seules les années pourront me le dire, en tout cas c'est effrayant! Foenkinos nous met face à cette réalité! Et là comme ça, tout au fond de moi je me suis dis, faites que ça ne m'arrive jamais!!

Merci à Mathilde des éditions J'ai lu de m'avoir permis de lire ce dernier roman de Foenkinos, mon préféré reste tout de même Lennon.

lire sous la contrainte

(GN + GN: 1)

12 février 2014

Valentine Goby, Kinderzimmer

kinderzimmer

Quatrième de couverture:

"Je vais te faire embaucher au Betrieb. La couture, c’est mieux pour toi. Le rythme est soutenu mais tu es assise. D’accord ?
– Je ne sais pas.
– Si tu dis oui c’est notre enfant. Le tien et le mien. Et je te laisserai pas.
Mila se retourne :
– Pourquoi tu fais ça ? Qu’est-ce que tu veux ?
– La même chose que toi. Une raison de vivre.”
 
En 1944, le camp de concentration de Ravensbrück compte plus de quarante mille femmes. Sur ce lieu de destruction se trouve comme une anomalie, une impossibilité : la Kinderzimmer, une pièce dévolue aux nourrissons, un point de lumière dans les ténèbres. Dans cet effroyable présent une jeune femme survit, elle donne la vie, la perpétue malgré tout.
Un roman virtuose écrit dans un présent permanent, quand l’Histoire n’a pas encore eu lieu, et qui rend compte du poids de l’ignorance dans nos trajectoires individuelles."

Il est toujours un peu difficile de parler des livres qui traitent des camps de concentration, comment peut-on dire dans ce cas qu'on a appréicé, ou qu'on a passé un bon moment de lecture? 

Ce fût une lecture difficile, non pas dans sa forme, mais dans le fond, quand je lis un livre sur l'extermination des juifs, ici il est plutôt question de déportés politique, mais ça ne change pas grand chose aux méthodes employées, je me demande toujours, comment cela a pu être possible, comment a-t-on pu laisser faire, comment on peut être à ce point inhumain... Avec Kinderzimmer, Valentine Goby signe un livre fort en émotion, cela a beau être un récit fictif, Mila a bien été vivante pour moi. Mila et toutes ces autres femmes peu à peu déshumanisées. Ce qui fait tenir Mila ce sont les autres femmes, qui comme elle essaient de se soutenir, c'est son amie Teresa, et c'est son enfant, James. Valentine Goby s'efface au profit de sa narratrice, c'est bien écrit, sans en faire trop, ni pas assez, l'auteur a su trouver les mots justes pour décrire cet enfer vivant.

 

Merci à Jostein qui a fait voyager son livre, son billet ici, celui de Denis, de Valérie, et vous trouverez d'autres avus sur la page facebook du challenge du 1% de la rentrée littéraire 2013. Tous unanimes me semblent-ils sur l'émotion dégagée par cette histoire.

1 % 2013

 

(4/6)

challenge petit bac

(BATIMENT: KINDERZIMMER)

5 février 2014

Joyce Maynard, Une adolescence américaine

une adolescence américaine

Quatrième de couverture:

"1972. Sa jolie plume doublée d'un rien d'audace vaut à la jeune Joyce Maynard, dix-huit ans, le rare honneur de la publication dans le New York Times d'un article sur sa génération. Suivent des tonnes de courrier et l'enthousiasme d'un immense public, dont le célèbre J.D. Salinger. C'est chez l'écrivain légendaire, durant leur liaison ravageuse et sous son oeil désapprobateur, que l'étudiante en rupture d'université écrira cette Adolescence américaine, développement du fameux article en un livre qui paraîtra avec succès un an plus tard.
À la fois mémoire, histoire culturelle et critique sociale, cette série de courts essais, nourris d'un étrange mélange de maturité et de fraîcheur, établit la chronique de ce que furent les années soixante pour la jeunesse made in USA. Avec en décor la crise de Cuba, la guerre du Vietnam, Pete Seeger, Joan Baez, Woodstock, les fleurs dans les cheveux, le Watergate, la minijupe, l'herbe. Témoignant d'une autorité parfois désarmante mais irrésistible, la jeune auteure se fait experte en description de problèmes de son âge : l'anorexie, la minceur et le paraître, le rapport entre les sexes, les premières sorties, le Prince charmant boutonneux et la vierge aux pieds plats. Et nous offre au final un document passionnant sur ces années qui ont fait voler en éclats une société trop tranquille."

J'ai découvert cette auteure grâce aux blogueuses et à leur billet sur ce livre, adolescence, année soixante, il me le falliat donc à tout prix, et je crois donc avoir trop attendu de cette lecture, je l'ai apprécié, ne vous méprenez pas, mais c'est une petite déception tout de même. J'aurais aimé retrouver la ferveur d'une Suze Rottolo dans Le temps des possibles. Joyce Maynard revient sur les années soixante, alors qu'elle a à peine 18 ans et je pense que c'est peut-être le recul des années qui m'a manqué. Elle décortique bien les codes sociaux de l'époque d'abord au sein du foyer, la vision de ses parents puis à l'école. Elle nous livre ici les pensées de son enfance, les amitiés, les relations avec les garçons, les phénomènes de popularité avec l'équi de pom-pom gril d'une côté et les sportifs de 'lautre. (codes qui se vérifient toujours plus ou moins de nos jours à mon avis) Elle nous parle donc de ses premiers émois et de son entrée à l'université, de l'écart entre adolescents des petites villes et l'image qu'on se fait des sixties à New York. Une petite vie tranquille, réglée par l'école et la participation aux diverses associations de la ville. Peu de musique et point de revendications pour l'égalité des noirs. Et c'est je crois ce petit côté lisse qui m'a un peu désappointée.

Il n'en reste pas moins qu'Une adolescence américaine est un document intéressant et mon petit côté rebelle a pourtant était étonnée de savoir que Joyce Maynard avait été la compagne de J D Salinger!!!

Ma déception n'est donc pas liée à l'écriture de Joyce Maynard, mais plus à l'idée que je me faisais de ce livre.

Les avis plus enthousiastes de Valérie, Sylire et Antigone

 

challengeus1

(12)

challenge romancières américaines

(6)

objectif pal

(9/78)

 

3 février 2014

Les films de Janvier

HOMEFRONT-Affiche-France

Au cinéma:

Homefront de Gary Fleder avec Jason Statham, James Franco et Winona Ryder: "Ancien agent de la DEA (Brigade américaine des stupéfiants), Phil Broker se retire dans un coin tranquille de la Louisiane avec sa fille pour fuir un lourd passé… Mais Broker ne tarde pas à découvrir qu'un dealer de méthamphétamines, Gator Bodine, sévit dans la petite ville et met en danger sa vie et celle de sa fille. Face à la menace et à la violence croissantes, Broker n'a d'autre choix que de reprendre les armes…"

Les + : le scénario, les personnages, Statham mais surtout la gamine, très brillante, le décor, les bayous de la Louisiane...

Les - : euhhhh pas de moins, j'ai adoré. On est tenu en haleine du début à la fin!

 

 

 

Philomena_portrait_w193h257

Philomena de Stephen Frears avec Judi Dench et Steve Cogan: "Irlande, 1952. Philomena Lee, encore adolescente, tombe enceinte. Rejetée par sa famille, elle est envoyée au couvent de Roscrea. En compensation des soins prodigués par les religieuses avant et pendant la naissance, elle travaille à la blanchisserie, et n’est autorisée à voir son fils, Anthony, qu’une heure par jour. À l’âge de trois ans, il lui est arraché pour être adopté par des Américains. Pendant des années, Philomena essaiera de le retrouver.
Quand, cinquante ans plus tard, elle rencontre Martin Sixmith, journaliste désabusé, elle lui raconte son histoire, et ce dernier la persuade de l’accompagner aux Etats-Unis à la recherche d’Anthony."

Les + : L'histoire ancrée dans un fait réel, la grande Judi Dench, l'humour British, les flashbacks dans le passé.

Les - : c'est très long à démarrer, j'aurais plus apprécié ce film en VO je pense.

En bref, j'ai apprécié mais n'ai forcément pas pu éviter la comparaison avec les Magdalene sisters qui est plus prenant.

 

une education

A la télévision:

Une éducation de Lone Sherfig avec Carey Mulligan: "1961, Angleterre. Jenny a seize ans. Élève brillante, elle se prépare à intégrer Oxford. Sa rencontre avec un homme deux fois plus âgé qu'elle va tout remettre en cause. Dans un monde qui se prépare à vivre la folie des années 60, dans un pays qui passe de Lady Chatterley aux Beatles, Jenny va découvrir la vie, l'amour, Paris, et devoir choisir son existence."

Les +: la plongée dans les années soixante, la pétillante Carey Mulligan, la BO

Les - : c'est un peu lent, et la naïveté de Jenny m'a parfois agacée.

 

 

En DVD:

l'ordre du phénix

Harry Potter et l'ordre du Phénix de David Yates avec Daniel Radcliffe, Rupert Grint, Emma Watson, Maggie Smith: "Alors qu'il entame sa cinquième année d'études à Poudlard, Harry Potter découvre que la communauté des sorciers ne semble pas croire au retour de Voldemort, convaincue par une campagne de désinformation orchestrée par le Ministre de la Magie Cornelius Fudge. Afin de le maintenir sous surveillance, Fudge impose à Poudlard un nouveau professeur de Défense contre les Forces du Mal, Dolorès Ombrage, chargée de maintenir l'ordre à l'école et de surveiller les faits et gestes de Dumbledore. Prodiguant aux élèves des cours sans grand intérêt, celle qui se fait appeler la Grande Inquisitrice de Poudlard semble également décidée à tout faire pour rabaisser Harry. Entouré de ses amis Ron et Hermione, ce dernier met sur pied un groupe secret, "L'Armée de Dumbledore", pour leur enseigner l'art de la défense contre les forces du Mal et se préparer à la guerre qui s'annonce..."

Les +: les acteurs avec bien sûr mon gros coup de coeur pour Maggie Smiths! L'adaptation est assez fidèle au roman même si l'histoire a du être tronquée. Harry apparaît plus sympathique que dans le livre. Je l'avais trouvé très égocentrique dans ce tome.

Les - : certains racourcis peuvent perdre le spectateur s'il ne voit que le film.

 

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